Tessa: Ange ou démone?

Informations personnelles

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Nom: Kostas Prénom: Tessa Surnom: On me surnomme surtout Tess'. Mais personnellement, je trouve que Tessa c'est déjà assez court comme prénom. Alors, j'aime bien que l'on m'appelle par mon nom complet. Âge: Je suis une grande fille de dix-sept ans. Indépendante dans le monde de la magie. Mais encore prisonnière dans le monde moldu. Date de Naissance: J'ai vu le jour le 19 aout 1992. Orientation sexuelle: Je suis... en quoi ca vous regarde? Aucunement. Bon. Sang: Je suis née de parents moldus. Lieu de provenance: Athène en Grèce Relation: Je suis nouvelle à Poudlard. Malgré mon âge avancé. Je ne suis pas une élève de première année mais bien une de sixième. Ancienne capitaine de l'équipe de Quiddich de l'académie Beauxbâtons, je n'ai pourtant aucun lien dans ma nouvelles écoles. C'est des éléments sur le plan personnel qui m'ont forcé à abandonner mon ancienne vie.

Informations académiques

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Maison:
Je crois que Gryffondor est la maison qui me correspond le plus. En effet, je suis le genre de fille qui est très déterminée et courageuse. Je n'ai plus mon attirance vers les choses sombres qui est le seul trait qui aurait fait en sorte que j'aurais été classée dans une maison comme Serpentard.

Niveau Scolaire:
Dix-sept ans égale? La sixième année, bien sur.

Cours préféré:
J'ai toujours beaucoup aimé les cours de vol puisque j'ai eu une passion quasi instantanée pour le quiddich. Sinon, sur ce qui est plus le genre de cours technique, j'adore tout ce qui est cours de potions et de défense contre les forces du mal. Je n'aime pas du tout les cours comme ceux de divination et de runes car ils ne sont pas assez actifs à mes yeux.

Baguette:
Il s'agit d'une baguette en bois d'if d'une longueur de vingt-deux centimètres. L'ingrédient magique qu'elle contient? Elle contient un cheveu de Vélane et un crin de licorne.

Caractéristiques

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Physique :
Je dois être belle. Je dois être une belle femme séduisante pour réussir dans la vie. Je le sais. Alors je fais tout ce qui est en mon possible pour répondre aux exigences d'une société basée sur le physique. Même si je déteste bien paraître. Même si j'aimerais que l'on ne me remarque pas. Je ne suis pas une femme provocante. Je ne suis pas une femme que l'on peut confondre avec une prostituée sur le coin d'une rue. Je suis que Tessa. La petite Tessa qui a grandit à Athènes et qui depuis trop longtemps est devenue une femme qui se débat par ses propres moyens. Pourtant, quand on me regarde, tout ce que l'on voit, ce n'est pas ses milliers de batailles que j'ai mené. Ce que l'on remarque c'est mon corps.

Je ne suis pas petite, mais pas grande pour autant. Mesurant un mètre soixante, j'ai un poids proportionnel à ma taille. Je ne suis ni rachitique ni obèse avec mon poids de 105 livres. Il est sur qu'avec un poids comme cela, je n'ai pas les formes d'une femme qui répond aux clichés des États-Unis. Et je fais attention à ne pas répondre à ses clichés aussi. Je tente de mettre en évidence les minces formes que j'ai mais sans pour autant renvoyer l'image d'une femme objet.

On remarque aussi chez moi, une peau d'une blancheur assez étonnante pour une jeune femme qui a grandi sur le bord de la Méditerranée. Ce n’est pas parce que je n’aime pas le soleil ou pour une quelconque autre raison étrange. J’ai simplement hérité d’une peau sensible au soleil, qui brûle d’avantage qu’elle ne bronze. J’ai donc appris à me protéger de cet ennemi potentiel que représente le soleil.

Mes cheveux sont d’un brun très foncés et de nature frisée. J’ai l’habitude de porter des mèches plus pâles, normalement d’une autre teinte de brun ou roux pour éclaircir ma tignasse sombre. Car je n’aime pas le contraste que pose mes cheveux sombres et ma peau couleur neige. Je ne suis pas assez extrémiste pour faire aussi rajouter des mèches dans mes sourcils. Par contre, je fais épiler mes sourcils jusqu’à ce qu’ils soient une légère ligne. Un regard alourdit par des sourcils broussailleux est tout sauf esthétique. J’ai un regard de Méditerranée à ce qu’il parait. Un regard profond d’un bleu éclatant. Il contraste avec ma peau. Mais j’adore mes yeux. C’est la seule partie que j’aime vraiment de mon visage. Ils sont expressifs et délicats. L’opposé complet de ma propre personne. C’est pour cette raison que je leur accorde autant d’importance. À eux et à leur iris d’un gris ciel pluvieux. Mon nez est une petite bosse droite qui est couverte de petites taches de rousseur hérités de ma mère et mes lèvres sont deux minuscules lignes roses tendres.

Je ne suis pas le genre de fille qui aime se maquiller. J'aborde donc plus souvent qu'autrement un style naturel qui se reflète aussi dans mes vêtements bien que je me sois beaucoup chercher et que j'aie passé à travers tout les styles. J'aborde aujourd'hui un style plus hippies des années soixante-dix.

Caractère :
J’ai grandi seule. C’est trop jeune que j’ai appris qu’il fallait mieux compter sur moi que compter sur ma mère. Je suis donc une battante déterminée. Quand je veux quelque chose, je vais tout fait pour l’obtenir. Je suis celle à qui ma vie appartient. Personne n’a le droit de m’enlever ma liberté et de me couper de mes ailes. Vous avez probablement deviné que je ne suis pas le genre de fille qui va dépendre d’un ami ou d’une personne. Je suis d’une nature autodidacte et très indépendante. J’apprends ce que je veux pour avoir ce que je désire dans la vie. Et je suis toujours prête à travailler très fort pour avoir ce que je veux. Je veux être auror plus tard, et j’ai intention de réussir et c’est pour cette raison que je travaille au maximum et que j’ai donc l’apparence d’une fille très brillante. Je n’aime pas attendre, je trouve que c’est pour les gens faibles. Je ne suis pas faible.

Il faut par contre apprendre à me connaître pour comprendre que je ne suis pas aussi sauvage et défensive que j’ai l’air. Je suis une grande rêveuse et une fille qui a simplement besoin que l’on apprenne à la connaître pour qu’elle se montre très gentille. Je ne suis par contre pas le genre de fille qui fait en sorte que tout le monde connaisse sont histoire probablement parce que j’ai honte d’une bonne partie de mes événements. Quand on perse ma coquille, on découvre aussi la fille sensible qui s’y cache.

Ce qu’elle aime :
J'aime les jours de pluie. À l'opposé complet du fait que je déteste le soleil. Je ne sais pas pourquoi mais en quelque sorte, je pense que je me reconnais dans les jours de tempêtes ou le froid nous envahis. J'aime mangé de la bonne bouffe et touchers à des choses nouvelles. J'aime que l'on respecte mes limites. Je suis une fille de nature très indépendante. Et je ne veux pas que l'on me tienne en laisse. Je suis libre, comme une journée de tempête. Libre et fière de l'être. J'aime les soirs de fêtes et les grands partys, bien que je place mes études avant maintenant pour mieux réussir. J'aime la nature et la beauté qu'elle peut provoquer. J'ai grandi à Athènes sur le bord de la mer. J'accorde donc beaucoup d'importance à l'environnement qui m'entoure ne serait-ce que pour la valeur que ce dernier a à mes yeux.

Ce qu’elle n’aime pas :
S'il y a une chose que l'on doit savoir sur moi, c'est que je hais que l'on remue le passé. Je hais le sentiment d'aimer. J'ai vécu des affaires assez compliquer avec l'amour, le sexe et l'alcool. C'est des choses que je tente de tenir le plus loin possible de moi. Il ne faut pas non plus toucher à mes affaires. Mes possessions sont mes affaires. C'est ma personnalité et c'est souvent moi qui les aie payés en travaillant au plus fort que j'ai pu. Je n'aime pas que l'on m'infantilise ou que l'on me sous estime. Je n'aime pas non plus l'idée d'aimer quelqu'un. Je sais que mon coeur s'attache. Mais après l'amour, il y a l'abandon et la tristesse.

Peur:
J'ai peur de l'amour. Peur de retomber en amour et de ne pas pouvoir être capable de contrôler cette envie qui m'occupe. Celle d'avoir une vie meilleur que j'ai présentement, une vie avec quelqu'un d'autre. J'ai peur de trop me donner en aimant et de sacrifier ma vie pour celle de quelqu'un d'autre. Je ne suis pas prête à laisser partir ma liberté pour la donner en tendant les bras à quelqu'un d'autre. Je n'ai pas peur de l'univers magique. Ironiquement. J'ai aussi très peur de ma mère. Ma mère qui pourtant n'est plus dans ma vie depuis si longtemps. J'ai peur de cette femme. Peur des racines qu'elle représente pour moi. Cette prise au sol à laquelle désepérément je cherche à m'agriper pour ne pas perdre pied et tomber. J'ai peur de la liberté. Et j'ai surtout très peur de moi.

Fonction :
Je suis une étudiante... Mais surtout une jeune fille qui crois que tout fouttre en l'air est la solution pour bien repartir sa vie.

Histoire

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1 septembre 2009
Gare de King's Cross: Quai 9 3/4
9h45
Je suis seule au milieu de la foule. Seule dans la tonne de belles petites familles heureuses. Qui se soucie de moi? Je me sens seule. C'est la première fois que je réalise ma solitude. Non. Je mens. Plus rien n'est pareil. Rien n'a jamais été pareil. Il y a eut ma mère, mon beau-père, ma mère, moi-même, Fabrice. La vie est une suite de retour au point de départ. On court pour fuire sa solitude. On fuit ses souvenirs et sa tristesse dans les bras de quelqu'un. Mais on doit un jour tôt ou tard, réaliser qu'il n'est pas encore trop tard pour simplement plier bagage et fuir à l'anglaise. Fuir le plus loin possible de la réalité. Pour réaliser que même prise dans une foule de gens identiques à nous, on n'est reste pas moins seul et triste qu'ailleurs. Mon billet est dans ma poche. Mon chat ronronne couché dans sa cage. C'est un achat que j'ai fais au plus grand damne de mes nouveaux colocataires de la maison. Mais je crois qu'en ses temps troublés, j'avais besoin d'un ami. d'un animal qui m'attacherais à la vie et à la sombre couleur du pays de Tessa.

19 aout 1992
Hopital d'Athène: urgences
3h00
Gaïa Kostas, ma mère, savait qu'elle avait fait une gaffe. Elle le savait le jour ou mon père l'avait largué après qu'elle aie découvert trop tard qu'elle était enceinte. Elle avait choisi de garder l'enfant. Pourtant, le 10 aout, ma mère regretta intensément. Elle avait seize ans. Elle venait de sacrifier sa liberté. Elle venait de le réaliser. C'est pour cette raison qu'enceinte de huit mois, elle choisit d'attenter à sa vie. Avant que l'école ne recommence et que les gens la voient avec un môme. Ma grand-mère la trouva inerte sur le sol. Et ce fut aux urgences de l'Hôpital d'Athène qu'elle fut conduite. Ce jour-là, ils sauvèrent ma mère et la provoquèrent. Je vis le jour imprévue, dans un monde dénudé de sens. Je crois que ce jour-là ma mère réalisa le tas de problème que j'allais devenir pour une simple moldue jeune dans son genre. Mais avec l'aide de ma grand-mère, elle choisit de me garder, ce qui je crois constitue sa plus belle erreur à vie.

1 septembre 2009
Gare King Cross: Quai 9 3/4
9h55
Je monte dans le train. Je sais que je dois le faire. Que Poudlard est mon seul échappatoire. J'aimerais retourné à Beaubatons, revoir Fabrice, me coller doucement à lui, ne pas me sentir coupable pour toutes les choses que j'ai faites, pour toutes celles que je n'ai pas faites. Mais je fuis, comme une lâche. Je fuis dans un uniforme noir qui remplace mes anciennes robes bleus à l'image de l'académie ou j'étais. Mes rares amies me pardonneront. Elles feront ce que je ne suis pas capable de faire. Elles accepteront sans contester le poids de la honte qui pèse sur mes frèles épaules. Elles comprendront que le mouton noir de Beaubâtons en avait marre d'être marginaliser parce qu'elle était tombée en amour une fois dans sa vie. Elles seront loin de moi. Loin de mon nouvel univers mais si près. Tout recommencer me fait peur. Tellement peur. Mais je ne veux pas m'attacher à l'amour, je ne veux pas faire comme ma mère. M'accrocher à l'espoir que tout va aller mieux. Que tout va bien aller.

14 février 1995
Résidence de Gaïa et Tessa Kostas
17h00
J'avais deux ans et demi quand ma mère a ramené Alec à la maison pour la première fois. C'était un jeune garcon de la supérette ou elle travaillait. Ma mère en était folle, ca se voyait dans ses yeux. Alec et sa peau tannée par le soleil, Alec qui aimait pècher. Alec. Alec. Alec. Je n'étais qu'un bébé. Je n'ai pas de souvenir précis de cette soirée, sauf que des années plus tard, ma mère me mentionnera cette date comme étant la plus belle de sa vie. Parce que j'avais été silencieuse et que je ne l'avais pas dérangé dans le petit appartement que je partageais avec elle de s'occuper de bien tendre facon avec Alec. Information que je saurais identifié à l'âge de douze ans. Ma mère n'était pas le genre de femme qui était douée pour élever un enfant comme moi. Elle m'a donné l'exemple de ce qu'il ne fallait pas faire en me laissant seule chez tatie, notre voisine du dessous et en revenant me chercher, souvent plus saoule que sobre mainte fois.

31 aout 1997
Escalier du bloc appartement
8h00
J'ai cinq ans. Je suis le genre de fillette qui ne fait pas de bruit quand elle marche. Qui ne parle presque pas. Une ombre silencieuse. Je vis d'avantage chez tatie que chez maman. Mais aujourd'hui, j'ai le droit d'avoir l'attention de cette femme que j'aime beaucoup. Maman va aller me porter pour la première fois à la vraie école. Ca me plait beaucoup. Alec a proposé à ma mère de l'épouser. C'est une relation stable et je le concidère comme étant mon père, n'ayant jamais connu le mien et ne sachant pas qu'il n'est pas le mien. Les mots que ma mère lancent sont crus normalement. Mais en ce jour de rentrée scolaire, j'ai peur, horriblement et terriblement peur. Je sais qu'autour de moi il y a ses choses qui ne sont pas normales. Quand je suis en colère ou triste. J'ai peur de l'école. Ma mère rit de moi. Me dit que je n'ai aucune raison d'avoir peur. Que c'est que les bébés et les faibles qui ont peur. Elle sent l'alcool et la tristesse. Pourtant, elle devrait être heureuse, je fais de mon mieux pour être une bonne petite fille. J'ai l'impression qu'elle ne m'aime pas autant que Tatie qui n'a pas eu d'enfant.

19 décembre 1998
École élémentaire d'Athène: Service de garde
19h00
C'est la quatrième fois que maman m'oublie en deux semaine au service de garde. Elle a la tête dans les nuages ces temps-ci. C'est Noël dans quelque jours, j'ai six ans. Grâce à Tatie et à mon enseignante, je commence à sortir de ma coquille et à aller jouer avec les autres. On va encore appellé Tatie qui va venir me chercher. Je le sais. Tatie qui est douce et gentille. Tatie qui m'écoute babiller mes histoires sans me traiter d'enfant. Qui m'écoute parler pendant des heures et des heures du père noel. Tatie qui est l'opposé de ma mère. Je comprend que ma mère est occupé à préparer son mariage qui devrait avoir lieu à la mi juin de cette année là. Elle a reporté plusieur fois la date parce qu'elle ne pouvait pas invité sa famille en entier et pour elle c'était très important. Mais est-ce que je mérite vraiment de passé en deuxième?

1 septembre 2009
Gare King Cross: Dernier wagon du Poudlard Express
10h05
Ce wagon là est libre. je vais y être bien. Je monte ma valise sur les soutes à bagages. Tout est si différent des calèches vers Beaubâtons. Je n'aime pas le train. Ca me donne la nausée. Ca me saoule. J'ai passé mon enfance à étouffer dans de petit endroit clos. La place que ma mère m'avait faite dans sa vie. La minuscule place à laquelle j'ai été consigner le jour ou mon beau-père a finalement marié ma mère. Je ferme les yeux et j'appuis mon front sur la vitre froide du train. J'y suis bien. Elle me détend. C'est ce que j'ai besoin. Je n'ai pas besoin de me souvenir de tout ca. Pourquoi il faut que je sois incapable d'oublier. Incapable d'oublier ce soir. D'oublier cette nuit ou tout a changé. Ou tout a basculé dans le néant. J'ai peur. Peur de la mémoire. Peur de réentendre ses mots. Peur d'avoir l'air de cette racaille que je ne suis pas, que je ne suis plus.

1 janvier 2001
Appartement d'Alec, Gaïa et Tessa
3h00
Aujourd'hui, Alec a frappé maman. Plus fort que d'habitude. Je sais. Je l'entend pleurer. Ma maman a mal, mais elle l'implore, elle jure qu'elle ne le fera plus. Je suis couchée en boule dans mon lit. J'ai impression que le couple heureux que formait mon père et ma mère s'est brusquement effriter. Ma mère lui demande de ne pas le quitter. Qu'elle ne peut pas gérer les gens qui la regarde. Ce n'est pas de sa faute s'il faut bien paraitre pour travailler avec le public comme elle le fait. Je tente de faire comme si je n'entendais rien. Dans ma chambre, roulée en boule, je suis sur pourtant que c'est de ma faute. Que c'est de la faute de la méchante bague d'Alec. Avant d'épouser ma maman, il n'était pas comme ca. Avant. Il ne frappait pas maman. J'ai neuf ans et je suis couchée dans mon lit, entourée de petites lumières blanches qui flottent. Il ne faut pas que maman voit. Il ne faut surtout pas qu'Alec voit. Il se facherait contre moi. Je ne veux pas.

20 aout 2003
Appartement d'Alec, Gaïa et Tessa Kostas
15h00
On cogne à la porte. C'est dimanche. Je me dis que la personne est vraiment chanceuse que l'on soit à la maison. C'est rare. Normalement, personne aurait répondu. Hier, ca a cogné fort. Ma mère est roulée en boule dans son lit et elle refuse de bouger. J'ai voulu allé chez Tatie pour qu'elle me serre dans ses bras. Mais quand je me suis avancé vers la porte, on a toqué à la porte. Alors, j'ai répondu. Je ne suis pas aller chercher maman. Il y avait devant moi, une grande femme à l'allure étrange, une robe longue et un chapeau ironiquement pointu. Elle a demandé d'entrer et de parler à ma mère. J'ai murmuré timide, que ma mère était malade. J'ai écouté à la porte, comme quoi j'étais une sorcière et que je devais aller dans une école particulière, nommée Beaubâton.

20 décembre 2003
Appartement d'Alec, Gaïa et Tessa Kostas
10h00
J'aime l'Académie Beaubatons et le climat tendu et destructeur de ma maison ne me manque pas. Dans cette nouvelle école, rien n'est pareille. Je me sens moi. Mais Noël arrive et malgré toute la bonne volonté que j'ai de croire que tout a changé à la maison, j'arrive au beau milieu d'une engeulade. Ma mère est roulée en boule aux pieds de celui que je concidère comme mon père qui est en train de faire ses valises. "Tu n'es qu'une salope" a-t-il dit à ma mère. Ma mère qui l'implore de ne pas le quitter, qu'elle ne l'a jamais tromper. Elle murmure en pleur qu'elle l'aime. Je reste là, devant la porte, pétrifiée de peur. Je reste là, horrifiée par la tristesse que je vois dans ma mère qui me semble si blessée. C'est Tatie qui m'apercoit. Sur le porche une bonne vingtaine de minute après que j'aie fermé la porte incapable d'accepter ce qui se passe dans l'appartement de mes parents. Je me colle dans ses bras et j'entends la porte de l'appart qui s'ouvre, Alec qui en sort. Malgré toute la peur que j'éprouvais de cette homme, malgré toute le mal qu'il avait fait à ma mère, je ne peux m'empêcher de pleurer. Je ne veux pas qu'il parte. Je sais que ma mère sera seule quand je serai à l'école, je ne veux pas qu'elle soit seule. Même si le mariage avait changé Alec, même si ma mère était souvent malade. Du haut de mes onze ans, j'ai peur pour elle.

1 septembre 2009
Gare King Cross: Dernier wagon du Poudlard Express
10h35
Je sais que je dois avoir l'air ridicule. Il y a une femme qui vient de passer: "Choco-grenouille ou Berty Chochu et ses dragées surprises?". Je n'ai rien pris. Je n'ai pas faim de toute facon. J'avais les yeux pleins d'eau et j'aurait simplement voulu qu'en ce moment précis, Tatie soit encore vivante, que tout soit comme avant son décès, avant que je ne vive chez elle après que ma mère aie tenter d'abréger ses jours alors que j'avais onze ans, quelque jours avant la reprise de l'école. Mais je savais que je ne serait pas la même sans cette histoire. Je savais que la tentative de suicide de ma mère m'avait monstueusement changé. J'avais réalisé à onze ans que j'étais maïtre de mon destin. À douze ans, quand Tatie était décédée d'une crise cardiaque alors qu'elle était agée de soixante ans, j'avais compris que j'étais libre et qu'il fallait que je me débrouille seule pour survivre maintenant. Mais j'avais surtout beaucoup pleurer. J'avais eut de la misère à accepter l'abandon de Tatie que je voyait. Elle était pour moi, ce qui ressemblait le plus à une mère. L'année de mes douze ans marqua donc un changement dramatique sur mon comportement, la gentille petite Tessa se transforma en une femme provoquante individuelle et surtout très détruite.

31 octobre 2004
Dortoir de l'académie Beaubâtons sous la responsabilité de Cédric Marin
18h30
Je n'ai pas intention de me lever du lit. C'est Halloween. On entend les filles qui montent et qui descendent excitées par Halloween. Moi, je suis roulée en boule dans mon lit, Lily à mes côtés qui tente de me rassurer. Je n'ai pas bougé. Je n'ai rien fait depuis ce matin. Je sais que je l'inquiète. Mais ca ne veut pas sortir de ma gorge tel un cri de détesse. Que j'ai mal. Que je viens de recevoir la lettre que m'a envoyée ma mère. Tatie qui est partie. Lily n'a pas vu la lettre. Je ne veux pas qu'elle la voit. Je ne veux pas que ma Lily comprenne. J'ai depuis le début de mes études, un an auparavant, l'apparence d'une jeune fille venant d'une famille calme. Il est arrivée ce que je pensais, elle est allée cherché Cédric, elle a envoyé Sabine le faire. Pour ne pas que je sois seule. Parce qu'elle a peur pour moi. Et moi, je ne voudrais que ca. Être roulée en boule sous les couvertures comme quand mes parents s'engeulaient dans le temps ou Tatie était là. Quand Cédric rentre dans le dortoir, mes larmes éclatent dans un torrent. Responsable de ma maison à Beaubâton, il était ce que j'avais qui ressemblait le plus à un père. Nouvellement arrivé, talentueux, il avait tout juste 19 ans quand il avait été admis comme enseignant, l'an ou j'étais entrée à Beaubâton. Il en avait vingt quand il avait pris la place de directeur de maison. J'ai pleuré longtemps dans un espèce de grand délire ou j'ai répété sans cesse qu'elle est partie, qu'elle m'a abandonnée.

24 juin 2007
Quelque part dans les rues d'Athène
5h00
Je ne suis pas une bonne influence. Je le sais. Je ne suis pas le genre de personne avec qui personne ne veut se tenir. Je passe mon été dans les rues, trop effrayée par ma mère qui a tout fait pour garder un homme violent à ses côtés pendant mon enfance. Il y a trois ans que je vis ainsi, allant dans des sous-sol d'église, cherchant mon appartenance. Je fais beaucoup la fête à l'extérieur de beaubâtons, devenant peu à peu une femme. Mais à l'école, j'ai cette image de petit ange. Cette nuit, j'ai rencontrée une petite fille qui me ressemble beaucoup dans sa manière de voir la vie. Une vagabonde de seize ans. Du haut de mes quatorze ans presque quinze, je suis aller chercher chez elle l'aide que j'avais besoin. Elle était là pour m'aider. J'ai dormis dans son appartement qu'elle partage avec une ou deux autres filles. J'ai dit que moi et mon chaton que j'ai acheté récemment nous cherchions une place pour fuir le passé. Elle m'a ouvert les bras et les a ouvert à ma petite boule de poil blanche. J'ai rencontré ses trois colocataires et je me suis installée dans le salon sur le vieux futon qui a craquée sous mon poids.

Histoire (suite et fin)

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1 septembre 2009
Lieu inconnu: dernier wagon du Poudlard Express
12h05
Un bébé chaton que je serre contre moi pour oublier combien à cet instant précis, j'ai mal et j'ai peur. C'est une marre de souvenir qui me rattrape beaucoup trop vite pour que je puisse protester. Beaucoup trop vite pour que je hurle à tue-tête que je veux être seul. J'ai mal, j'ai peur. Ce sont des souvenir que j'ai longtemps tue. Même s'il parfois je les aie confié à mi voix dans une chambre blottit contre le corps tendre de Tatie ou plus tard contre le torse de Cédric. J'ai fuis, je le sais. J'en suis consciente. Mais j'ai réalisé que ce n'était pas une manière de vivre. Que je voulais être heureuse et que je le méritais. Mais pourquoi ai-je tant de difficulté à me faire à ce genre de chose? Je sais qu'il faut aimer. Mais j'ai tant de misère à m'y faire. L'année de mes quinze ans fut celle ou je réalisa que de céder à la tentation n'était pas si mal que ca après tout. Qu'il fallait parfois le faire pour mieux vivre. Au plus fort de ma révolte, au plus noir de ma terrible nuit, moi, petite Tessa allait découvrir ce que c'était que de se poser dans les bras de quelqu'un. Ce que c'était que de sentir un coeur battre dans ma poitrine.

20 août 2007
Métro Parisien
16h30
Mes yeux sont fixés sur la hanche pâle que dévoile un chemise de lin. J'ai officiellement mes quinze ans. Combien de temps les ai-je attendu. Dans deux ans, je suis majeur pour les sorciers. Mais revenons en à la hanche. Je suis dans le métro de Paris. Accompagné de Cédric. C'est lui qui a la mission chaque année depuis maintenant quatre ans de venir me chercher à Athène pour venir me conduire à l'équivalent de ce que les sorciers anglais appellent le Chemin de Traverse. C'est la première fois que je lui demande de venir me chercher à cet endroit que j'appelle maison. Il a été disons un peu beaucoup surpris que j'habite dans un vieil appartement qui habite quatre filles et trois garcons. Et depuis qu'il a vu ca, il est d'un froid horriblement intense. Je garde donc les yeux baisée sur ce bout de peau, assise sur un des banc. Je n'ose pas relevé les yeux. J'ai honte d'avoir tenter à dissimuler ce que je fais hors de l'Académie à cet homme. J'ai peur qu'il ne le dise à la directrice et que je soit finalement renvoyée. Bonne station, nous sortons. Je ne sais pas quoi pensée. Je ne sais pas quoi faire. On tourne dans une petite ruelle déserte. Il murmure: "Si jamais tu as besoin d'aide, je veux que tu sache que je suis là pour toi.". Et nous poursuivons notre trajet comme si rien n'était...

1 septembre 2007
En chemin vers l'Académie Beaubâton.
16h30
Je me suis demandée ce que voulait dire cette lumière dans les yeux de Cédric quand il avait parlé. C'était comme s'il me comprenait. C'était comme s'il était déjà passé à travers ce que j'étais passé. Ma tête se débattait avec le regard d'animal blessé qu'il m'avait laissé voir. Depuis près de 11 jours, je ne pensais qu'à ce regard, le regard qu'un homme de 8 ans mon ainé avait posé sur moi. Un regard comme personne n'avait jamais fait bien que je tente de me faire remarquer. J'ai regardé Lily. Est-ce que je devais lui en parler? Après tout, elle était ma meilleur amie. La seule qui savait pour tatie et pour ma mère que je n'avais pas revue depuis la mort de Tatie. Je ferma les yeux.

10 juin 2008
Bureau de Cédric Marin.
16h30
"Je veux pas partir Cédric." J'ai murmuré d'un coup sec dans son bureau. J'ai murmuré les yeux plein d'eau. L'année scolaire qui tirait à sa fin me fouttait la chienne. Je ne voulais pas me retrouver à nouveau dans la maison avec les autres filles. J'avais appris à connaitre cet enseignant au courant de l'année, il m'avait aidé, il était resté avec moi le jour ou Tatie était décédé. Il avait été là pour moi et j'avais commencé étrangement à le concidérer comme étant plus qu'un enseignant. Il entrait quasiment dans la catégorie de mes amis. Je lui accordait une importance particulière. C'était un cri de désespoire d'une étudiante. Mon cri de désespor à moi, une jeune femme de 15 ans. Je ne voulais pas me retrouver dans cet appart à me battre pour ma place ou dormir. Je m'assis sur une des chaises qui craqua. Et je le fixais de mon regard sauvage. Je ne voulais pas, tout simplement pas assumée. J'étais en colère à l'intérieur contre cette mère qui s'était détruite et dont j'avais eu vent qu'elle était maintenant internée. contre mon beau-père qui n'avait pas su aimer correctement ma mère, contre moi-même qui ne comprenait pas toutes cette colère qui bouillait en moi, contre l'école qui ne pouvait pas être là présente pour moi 365 jours par années. Contre toute attente, malgré mon allure de grande dur, je partis à pleurer devant Cédric. Un test? Non, loin de là. Un ultime cri de désespoir. Lentement ses grands bras chauds m'enlassèrent."Chut, c'est pas grave... tout va bien aller... je te le jure... Je suis là."

1 septembre 2009
Poudlard express: sur un pont.
16h30
L'été de mes seize ans a filé. Je pouvais toujours appellé Cédric. Il était présent. Je savais que quelque chose se passerait entre nous deux. Quoi? Je ne pouvais pas le savoir. Mais il y aurait quelque chose de vibrant et d'une troublante vérité qui nous unirait. Je commencais à calmer cette révolte intérieur qui m'avait forcé l'an précédant à causer problème sur problèmes dans l'Académie. C'était ce contact avec Cédric, cette manière qu'il avait de me montrer qu'il y avait d'autre moyen de se calmer que de tout détruire autour de nous. Il me serrait longuement dans ses bras en me disant de ne pas m'en faire. De me calmer. Que ma colère ne ménerait à rien. Sans réellement connaitre Cédric, je connaissais son histoire sans vraiment la connaitre. Il comprennait la terreur que je traversais et ma colère. Il transplanait pour venir me soutenir quand j'en avais besoin. Nous étions connectée. C'est peut-être pour cette raison que je n'ai pas réalisé quand nous avons commencer à sortir ensemble. Ce que je savais, c'était qu'à la rentrée, j'avais laissé tombé mon petit appart surpeuplé pour le petit appartement de Cédric.

20 octobre 2008
Bureau de Cédric Marin.
20h30
J'ai impression que tout le monde sait pour Cédric et moi. Quelque chose me dit que c'est mal. Mais pourtant, on tente de notre mieux de cacher notre relation. Lui qui était ma boué de secour et qui est devenu l'homme avec qui, malgré l'âge, je partage ma vie. L'expérience qu'il me fait vivre est douce dans son bureau. Je suis en récupération. Mais tout est loin de se passer comme ca devrait. Les mains sont baladeuses et l'envie est à une toute autre ambiance. J'ai peur. Après tout, je n'ai jamais encore fait ce genre de jeux. Mais je sais que lui, il en a fait. Ca m'effraie. Je lui dis dans un petit murmure géné. Il y a eu ses moments ou nos deux corps se frolaient timidement à son appartement. Mais jamais rien. Je sentais qu'il allait arrivé quelque chose au plus profond de mon âme. Mais je m'étais doucement laissé entrainé dans sa chambre, sans résister, sans protester.J'avais impression que j'étais prête. Que je ne serais pas plus malheureuse avec cette étreinte solonelle. De perdre ce petit bout de moi. J'aurais du réaliser quelle erreur je m'apprètais à faire.

25 décembre 2008
Toilette de l'appartement de Cédric
3h30
L'homme est un porc. Du haut de mes seize ans, je commence à le réaliser. Ma relation avec Cédric tourne majoritairement autour de ca. Ca me saoule. Je ne me sens pas stable. Noël est depuis toute jeune une partie difficile pour moi. Pourtant aujourd'hui, me sentant comme un jouet sexuel, je suis assise dans le font de la salle de bain, un joint à la main, l'air fatiguée après avoir constater combien ma relation a tristement évolué sans que je puisse m'y adapter. Je tente de cacher mas dépendances à ces substances illégales de mon mieux. Je sais que Cédric sait. Je m'en doute. Mais il ne m'en empèche pas. J'ai impression de le perdre lentement. De me perdre lentement. Je sombre. J'ai perdu mes repères d'enfants. Ou est la méditéranée que je voyais de la fenêtre de ma chambre enfant? Ou sont passés les grandes maisons blanchis à la chaux et les rues étroites ou l'on se promène plus souvent qu'autrement à dos d'âne. Ma langue et ma culture me manque. Pour la première fois de ma courte existance, je donnerais tout pour retourner dans mon pays, dans ce vieil appartement avec ma mère. Je ne parle jamais de ma mère avec Cédric. Je parle de magie, de douceur, de la neige que l'on voit. Mais jamais je ne parle du ciel couleur cyan qui se mèle avec l'horizon blanc comme neige. De la baie ou je me réfugiais pour joindre la tristesse du sombre pays de Tessa.

1 janvier 2009
Hopital Général d'Athène: Section Psychiatrie
12h30
Je fixe la porte. J'ai peur. Je n'ai pas parlé à Cédric. J'ai inventé une question idiote d'antésédant médicaux à aller chercher pour me faire transférer dans une clinique plus proche de la maison au cas ou il y aie un problème. Je ne voulais pas qu'il sache pour ma mère malade enfermée dans un hôpital psychiatrique. Ma mère que l'amour avait détruit. Ma mère à qui je craignais de ressembler. Il m'avait fallu deux semaine pour réaliser combien je ressemblais à ma mère. Combien cette ressemblance me faisait peur et que c'était ce qui m'empêchait de dormir. Ma mère, moldue, qui ne savait pas ma relation avec un homme de huit ans mon ainé, issu de mon monde à moi. Un monde qui dans son univers n'existait pas. J'ai hésité longtemps devant la porte 301 ou le nom de Gaïa Kostas était écrit. La dernière fois que j'avais vu ma mère elle avait le regard creux et venait de tenter de se suicider. Peu avant que Tatie commence à m'élever comme sa fille qu'elle n'avait jamais eu. J'ai entrouvert la porte et j'ai fixé cette silouhette mince dans un lit au teint blême qui fixait un écran de télévision. Je me suis enfuie en courant. J'ai couru à m'en étourdir. Pour me trouver sur le bord de la mer. Là ou tout a commencé. Là ou j'ai lancé les cendres de Tatie. J'aurais aimé oublier mes sentiments pour Cédric. Mais à cet instant précis, la seule chose éclatant dans ma tête fut: "L'AMOUR EST UNE MALADIE MENTALE." Je m'écroulais sur la pierre froide de la petite baie en larme.

23 mars 2009
Bureau de Cédric Marin
22h30
La porte s'ouvre pendant un baiser. C'est comme si l'univers de Cédric et de moi s'écroulaient d'un coup sec. Il vient de voler en éclat. J'ai mal soudainement. J'ai pour la première fois depuis le début de ma relation avec Cédric l'impression que je fais quelque chose de mal. C'est la première fois que je réalise vraiment ce qui se passe entre moi et lui. Que nous formons un couple. Que nous vivons ensemble plus que comme deux être. C'est le visage sèvère de la directrice de Beaubâton qui se pose sur nous deux. Je veux fuir à toute jambes. J'étais conscentante. Je le sais. Je ferme les yeux un long instant. C'est une larme qui coule de mon oeil. Un sanglot qui sort de ma gorge. Je me cache contre Cédric. J'appréhende la colère de la directrice. J'appréhende les mots de Cédric, la course qu'il serait lui aussi tenter de prendre pour conserver son boulot et son petit appartement lui qui est comme moi, un enfant de moldu sauvé par le monde de la magie.

20 mai 2009
Salle commune de beaubâtons.
12h30
Mon coeur s'est brisé. La vie à l'académie est complêtement invivable. Cédric n'a plus le droit de m'approcher, Lily m'en veut de ne pas lui avoir parler de ma relation avec Cédric moi qui aie eu droit à toutes les relations de ma meilleur amie et la majorité de la gente étudiante me voit comme une sale trainée. Je me sens tellement seule parmis les autres. À un point tel que je commence à regarder les autres universités du continent. Drumstan me déprimerait avec son hiver continuel. C'est pour cette raison que Poudlard m'interesse tant. J'annonce ma décision. J'avais beau aimé Cédric encore malgré la séparation forcée, l'idée de grandir dans un monde ou l'amour me dirige m'effrayait. Hanté par l'image de ma mère, ses dessins d'enfants sur le prince charmant et ce romant savon à la télévision. Au plus profond de ma révolte, je trouve la force de finir mon année et je pars au plus loin possible. Dépendant au maximum de mes petits bout de plaisir roulés dans du papier parchemin.

1 septembre 2009
Gare de Pré-au-Lard
18h30
J'ai besoin de la lumière du jour. Dans la prison ou j'ai été enfermée toute l'été pour vaincre ma dépendance, personne ne le sait, mais le soleil ne m'étouffait pas. Je ne veux plus jamais retombé en amour. Je veux rester en amour avec la pluie. Mais l'image détruite de ma mère me fait encore mal. Je me trouve vite assise dans un des grands carosse avec d'autres personnes. Je n'ai pas envie de parler. Je suis vivante. Même si j'ai choisi de fuir la douleur que je resentait. Et C'est pour moi, ce qui importe.

Autre

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Alexis Bledel

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